écrit par Pierre, le 06/04/2025

Quels sont les critères de sélection d’un fauteuil releveur médical pour une personne âgée ?

Trouver le bon fauteuil releveur, c’est un peu comme chercher la bonne paire de chaussons : il faut qu’il soit confortable, sûr… et qu’on s’y sente bien. Parce qu’on ne va pas se mentir, quand on commence à avoir un peu de mal à se lever du canapé, ce genre de fauteuil peut changer la vie. Littéralement.

Mais alors, comment choisir LE bon ? On vous aide à y voir plus clair (sans loupe et sans jargon médical, promis).

1. Le confort avant tout (parce que le dos, c’est sacré)

Le fauteuil releveur, on ne l’achète pas juste pour décorer le salon. Il faut qu’on ait envie de s’y installer pour lire, papoter, somnoler (ou les trois en même temps). L’assise doit être moelleuse mais pas trop, le dossier doit bien soutenir le dos, et les accoudoirs… ah, ces accoudoirs, ils doivent tomber pile sous les bras, comme un bon couscous tombe pile un dimanche midi.

Et si on peut étendre les jambes avec un repose-jambes motorisé, c’est encore mieux. Le confort, c’est pas un luxe, c’est une nécessité.

2. Le système de relevage : simple et sécurisé

L’intérêt principal, c’est quand même le fameux mécanisme qui vous aide à vous lever sans que les genoux grincent et que les bras tremblent. Le fauteuil s’incline doucement vers l’avant, pour accompagner le mouvement sans effort.

Le tout doit être fluide, stable, et sans à-coups (on n’est pas sur un manège). On préfère un moteur silencieux, qui ne réveille pas tout le quartier à chaque redressement. Et un bouton simple, clair, idéalement avec une télécommande à fil pour éviter de la perdre entre deux coussins.

3. La taille : ni trop petit, ni trop grand

Eh oui, les fauteuils aussi ont une taille. Et elle doit correspondre à la personne.

• Hauteur d’assise adaptée pour que les pieds touchent le sol.

• Profondeur d’assise confortable pour ne pas avoir les genoux en l’air ou l’arrière des jambes comprimé.

• Largeur suffisante sans se sentir noyé dans le fauteuil.

Un fauteuil trop grand peut être inconfortable… un trop petit, c’est une galère pour sortir. Et dans les deux cas, le releveur ne fonctionne pas comme il faut.

4. Le revêtement : joli ET facile à vivre

Tissu doux ? Simili cuir ? Microfibre ? À vous de voir. Mais dans tous les cas, il faut un revêtement facile à nettoyer, résistant aux petites fuites, et si possible anti-taches. Parce que le goûter dans le fauteuil, ça arrive (et parfois, la compote gagne).

Et puis, autant que ce soit joli. Aujourd’hui, les fauteuils releveurs n’ont plus le look austère d’autrefois. On peut les assortir au salon, à la tapisserie, ou à la nappe du dimanche. C’est vous qui voyez.

5. Les options bonus (pas obligatoires mais bien pratiques)

• Fonction massage ou chauffage : pour détendre les muscles après une bonne promenade (ou un épisode de Plus Belle la Vie).

• Dossier inclinable totalement : pour faire une vraie sieste.

• Roues avec freins : pour faciliter le déplacement sans faire du rodéo.

En bref ?

Un fauteuil releveur, c’est bien plus qu’un siège. C’est un compagnon de tous les jours, une aide discrète mais précieuse, et parfois même… un vrai soulagement. Alors autant prendre le temps de bien le choisir. Et si vous avez un doute, vous pouvez toujours nous passer un coup de fil chez Medicaa. On n’a pas la recette des crêpes parfaites, mais pour les fauteuils, on est plutôt bons.

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